LA RÉPONSE SE TROUVE DANS LES 7 LETTRES DU MOT
A
F R I Q U E
A
comme APPRENDRE – des solutions innovantes
Moins de leçons et plus d’innovation
Quel
continent au monde a relevé et va relever les défis auxquels le continent
africain a été confronté et doit surmonter dans 30 ans ?
Le continent va devoir
installer un milliard de nouveaux urbains en une génération. Ce que l'Afrique
va faire, personne ne l'a jamais fait. Il faut tout inventer ! Des maisons
individuelles aux infrastructures, de la culture aux technologies. Tout est à mettre aux dimensions de son boom
démographique. Les critiques peinent à construire et parler n’a jamais fait cuire
le manioc. Alors soyons parmi ceux qui auront participé à l’insurrection de l’audace
conceptuelle dans tous les domaines.
1/6 de la population mondiale actuelle est
africaine. D’ici à 2050, la population du continent aura doublé pour atteindre
deux milliards d’habitants. Le Nigeria, qui en compte aujourd’hui 170 millions,
deviendra le troisième pays le plus peuplé de la planète, derrière l’Inde et la
Chine. La RD-Congo sera dans le top 10 des pays les plus peuplés au monde, quel
nouveau rapport à inventer face à la Belgique ?
Qui deviendra le chef de file de
la francophonie en 2025, la France ou la RDC ?
F comme FORMATION – C’est
l’heure des ingénieries nouvelles de formation, puissantes et moins chères
portant sur la
· Formation professionnelle
· Formation continue
· Formation sur mesure
Avec quel
outil allons-nous former un milliard d’habitant en moins de 30 ans ?
Comment disposer du seuil suffisant d’ingénieurs en 25 ans pour disposer du
levier de compétences africaines utile à
son émergence économique ?
Il faut inventer et/ou reformuler la formation
actuelle.
En Afrique, la
proportion de jeunes diplômés du secondaire et du tertiaire s’accroît
rapidement. En 2030, 59% des 20-24 ans auront reçu un enseignement secondaire
(contre 42% en 2011), soit 137 millions de jeunes, pour 12 millions formés dans
le tertiaire. Les besoins sont immenses et le marché de la formation s’accroit
de près de 20% chaque année. DB CONSEILS leader africain en solutions d’entreprises voit son chiffre d’affaire croître grâce à sa nouvelle formule FORMATION
TOP MANAGEMENT adaptée au référentiel culturel africain et aux exigences de
temps, de disponibilité et d’expérience des grands chefs d’entreprise et ça
marche.
Les
entreprises africaines investissent à présent dans la formation des cadres et
ce secteur est devenu bénéficiaire près de 20% de notre chiffre d'affaire. Les entreprises ont besoin de formations adaptées, des programmes sur-mesure et des solutions innovantes. Voilà ce qu’elles n’attendent pas, du
copier-coller, ni une reformulation d’un corpus théorique fait pour les Autres.
R comme RISQUE-PAYS
Nos clients sont souvent surpris par "les risques-Afrique". Du fait des
incohérences institutionnelles (corruption,
instabilité politique, mauvaise gouvernance, risques financiers, risque pays,
risque bancaire, risque…), nous le reconnaissons, l’Afrique est un
continent à risques.
Heureusement que la
consommation tire l'économie en Afrique. Les fameuses classes moyennes
éveillent le désir des entreprises du monde entier. Ce qui permet au Président
Paul BIYA de dire que l’Afrique est devenue un bon risque économique.
Nous regrettons que la réflexion stratégique interne, lors de la mise en œuvre de vos projets stratégiques, n'analyse pas finement le risque. DB CONSEILS depuis 12 ans, vous accompagne dans l’analyse du risque et la mise en œuvre des solutions de réussite professionnelle et d’efficacité commerciale.
Nous disons à nos clients, vous devez être capables d’intégrer les risques (politique, financier, de crédit, culturel, de non-paiement) non pas pour ne pas y aller, mais pour inventer une démarche commerciale offensive et défensive, qui doit vous permettre de faire du risque une opportunité commerciale. En Afrique, un risque est une opportunité commerciale, comme nous l'enseigne notre expérience africaine.
Nous regrettons que la réflexion stratégique interne, lors de la mise en œuvre de vos projets stratégiques, n'analyse pas finement le risque. DB CONSEILS depuis 12 ans, vous accompagne dans l’analyse du risque et la mise en œuvre des solutions de réussite professionnelle et d’efficacité commerciale.
Nous disons à nos clients, vous devez être capables d’intégrer les risques (politique, financier, de crédit, culturel, de non-paiement) non pas pour ne pas y aller, mais pour inventer une démarche commerciale offensive et défensive, qui doit vous permettre de faire du risque une opportunité commerciale. En Afrique, un risque est une opportunité commerciale, comme nous l'enseigne notre expérience africaine.
I comme INDUSTRIE
La révolution
entrepreneuriale s'accompagne d'une révolution industrielle. Ca y est, l’Afrique est
devenue exportatrice des produits manufacturés (Afrique du Sud, Nigéria, Egypte...). Elle a besoin de
délocalisation, de partenariat industriel, de coopérations interentreprises. Lionel Zinsou :
"L'Afrique va vous surprendre. « Pour beaucoup d'observateurs, le grand problème de l'Afrique,
c'est justement le déficit d'industrie. Ils disent : "L'Afrique n'est pas
compétitive, ni productive, les Africains ne sont pas qualifiés..." Mais la
révolution qui est en cours est aussi industrielle. La Chine vieillit et
l'Afrique croît démographiquement comme nulle part ailleurs... Dans vingt ans, l'Afrique comptera 25 % de
la population active mondiale ! Et le rôle d'atelier du monde n'échappe pas
à l'ensemble géographique qui a les actifs pour produire et consommer. Les
rémunérations en Chine ont quintuplé en dix ans, avec un yuan qui s'est
apprécié. Il existe un besoin de délocalisation des usines de chaussures ou de
textile qui ont un contenu en main-d’œuvre élevé. Mais, en Afrique, il y a
aussi des ressources d'excellence, ingénieurs et scientifiques. Ça ressemble à
de la science-fiction, mais c'est la réalité. La société de services
informatiques Atos est en train de créer à Dakar un Bangalore africain ! Safran
et Airbus produisent au Maghreb. Enfin, il y a l'éclosion d'une industrie de
proximité pour satisfaire les besoins des consommateurs : matériaux de
construction, agroalimentaire, pharmacie, etc...
Q-
comme QUALITÉ.
Les entreprises africaines attendent de vous la Qualité, rien que la Qualité.
Les entreprises africaines attendent de vous la Qualité, rien que la Qualité.
1. LA QUALITÉ DES OFFRES DE SERVICES
2. LA QUALITÉ DES OFFRES DE COOPÉRATIONS INTERENTREPRISES
3. LA QUALITÉ DES SOLUTIONS MANAGÉRIALE
4. LA QUALITÉ DES PRESTATIONS DE SERVICES
5. LA QUALITÉ DES INTELLIGENCES
Mes 14 ans d’expérience
internationale me permette de d'avancer que face à la qualité d’une offre de
services, à l’efficacité d’un produit ou d’une solution, à la pertinence d’un
projet, le tribalisme, la nationalité, la couleur, les doutes s’estompent. La
qualité vous ouvre les portes des marchés africains. La diaspora sera qualité
ou rien du tout.
L’Afrique n'est plus un musée de l'occasion. J’ai appris que dans plusieurs villes africaines, les voitures d’occasion n’ont plus droit de circuler. Le musée de l’occasion est donc entrain de fermer ses portes en Afrique. Dans le regard européen, il reste ce sentiment historique de supériorité qui pousse à proposer un produit de l'avant-dernière génération au consommateur africain. L'idée, c'est : on va leur donner la technologie d'avant-hier, ce qui sera toujours mieux que ce qu'ils ont, c'est-à-dire rien !
Saviez-vous
que 44% des consommateurs en Afrique subsaharienne associent qualité et marques
internationales, et considèrent qu’un produit de marque est de meilleure
qualité. Les consommateurs africains sont fidèles aux marques et enseignent
qu’ils apprécient : 70% se déclarent fidèles à une sélection réduite de
marques, 55% fréquentent toujours les mêmes fournisseurs.
U
comme Unité
Il est temps de de développer une communauté de destin stratégique. Telle est le fond de notre démarche économique.
Il est temps de de développer une communauté de destin stratégique. Telle est le fond de notre démarche économique.
Les entreprises africaines
attendent des acteurs économiques de la diaspora de vrais écosystèmes d’affaires dans chaque
projet, chaque offre. Les écosystèmes d'affaires permettent de comprendre la
multiplicité des liens plus ou moins directs que va tisser une entreprise avec
une multitude de partenaires, formant ce que l'on nomme une communauté de destin stratégique.
L’entrepreneur
de la diaspora est un loup solitaire
· Il
souffre de la solitude de l’entrepreneur, manque de moyens, de visibilité et de moyens
· Il a
du mal à mutualiser ses compétences, ses intérêts et ses engagements
· Il
ne travaille qu’en mode confiance et non en mode contrat
· Il
n’aime pas son pays et son pays le lui rend bien
Ce que le marché africain attend de
lui, c’est de l’audace conceptuelle (fini
avec ces consultants qui viennent réciter des modèles inadaptés), de la
persévérance, de l’énergie, de l’innovation, des investissements, de
l’intelligence créatrice, de la capacité à faire avancer, un vrai leadership économique.
- Passer de la concurrence à la coopération
- Passer de l'intelligence individuelle à la réussite collective
- Passer de la réussite individuelle à la dynamisme économique collective
Un de nos clients me disait,
il faut t’associer pour mieux peser dans l’échange, sinon l’offre de la banque
mondiale va l’emporter.
Nos offres sont
sectorielles, étroites, sans envergure, limitées et non intégrative. Il faut apprendre à s’unir, se faire confiance, se parler
entre concurrents, se connaitre, travailler ensemble pour développer de
vrais organismes de solutions d’affaires
Nous les avons désigné sous
le vocable : les écosystèmes
d'affaires
Ce que les entreprises locales attendent ce sont des écosystèmes d'affaires : c’est une communauté
de destin stratégique supportée par l'interaction entre des entreprises et des
décideurs pour développer selon les projets des organismes du monde des affaires. Cette communauté économique
va produire des biens et des services en apportant de la valeur aux clients qui
feront eux-mêmes partie de cet écosystème. Les organismes membres vont
également inclure les fournisseurs, les producteurs, les concurrents et autres
parties prenantes. À travers le temps, ils vont faire co-évoluer leurs
compétences et leurs rôles et vont tendre à s'aligner eux-mêmes sur la
direction d'une ou de plusieurs entreprises centrales. Ces entreprises vont
détenir un rôle de leader qui peut évoluer à travers le temps. Mais la fonction
d'un leader de l'écosystème sera d'apporter de la valeur à la communauté. Car, il
va engager les membres à agir en partageant une vision pour adapter leurs
investissements et trouver des rôles d'appui mutuels.
La prochaine conversation stratégique servira au lancement de cet écosystème d’affaires. La première de France et d'Afrique
La prochaine conversation stratégique servira au lancement de cet écosystème d’affaires. La première de France et d'Afrique
E
comme ESPOIR
Depuis la rencontre avec l’Autre,
pour la première fois, les africains globalement et individuellement ont le
choix économique. Bien qu’imparfait, il est devenu une réalité agissante. Les
opérateurs économiques ont donc le choix de leur développement, de leur
évolution :
· Le
choix des produits
· Le
choix des compétences
· Le
choix des offres de services
· Le
choix des intelligences et lumières
· Le
choix de la guerre (guerre économique, guerre des retards, guerre de monnaies, guerre d'images…)
La diaspora n’est plus
obligée et votre place n’est plus naturelle, à vous de faire preuve d’humilité,
d’écoute, de trouver votre propre financement au lieu d’aller toujours le
chercher là où la raréfaction des ressources, le permet difficilement. À vous de
prouver que vous êtes les dignes enfants prodigues de retour à la maison. Votre
place est là toute chaude et la fête déjà annoncée est prête. L’Afrique vous
écoute, vous attend et ses terres sont ouvertes.
Je vous remercie.
Je vous remercie.
Patrice PASSY
Directeur associé de DB CONSEILS