L'incompréhension du présent naît fatalement de l'ignorance du passé. Mais il n'est peut-être pas moins vain de s'épuiser à comprendre le passé, si l'on ne sait rien du présent. - Albert Camus
jeudi 29 octobre 2015
samedi 24 octobre 2015
LES FILIALES FRANÇAISES EN AFRIQUE RECRUTENT DES CADRES FRANCO-AFRICAINS : QUELLE INTELLIGENCE INTERCULTURELLE POUR RÉUSSIR VOTRE INTÉGRATION LOCALE ?
Le
saviez-vous ?
Le continent
africain est la deuxième destination française en termes d’expatriation
La croissance du produit intérieur brut (PIB) de l’Afrique devrait se
consolider en 2015 et 2016, à 4.5 % et 5 %, après deux années d’expansion
modérée (3.5 % et 3.9 % en 2013 et 2014). En 2014, la performance a été
inférieure d’un point de pourcentage environ aux prévisions des Perspectives
économiques en Afrique de l’année dernière, l’économie mondiale restant fragile
et certains pays africains étant confrontés à de graves difficultés intérieures
de diverses natures. Mais l’économie mondiale reprend des couleurs et si les
prévisions de cette édition des Perspectives économiques en Afrique se révèlent
correctes, alors l’Afrique devrait bientôt renouer avec les impressionnants
taux de croissance d’avant la crise économique mondiale de 2008/09. Avec
l’accélération de la mondialisation, une croissance endogène soutenue, le
développement d’une classe moyenne dans de nombreux pays africains, il y a une
mobilité des cadres franco-africains qui prend forme. L’impatriation des cadres
franco-africains est devenue aussi une réalité économique dans presque tous les
pays d’Afrique (Maroc, Sénégal, Ghana,
Nigéria, RD-Congo, Afrique du Sud, Cameroun, Congo-Brazzaville, Tchad, Algérie,
Guinée équatoriale, etc…)
Les
conclusions du rapport de la mission effectuée par la sénatrice Hélène
Conway-Mouret, sur le retour en France des Français de l'étranger, viennent
d'être rendues au Premier ministre Manuel Valls. L’occasion pour les experts de
DB CONSEILS, la référence française des solutions interculturelles en Afrique, de
parler du quotidien de ceux qui prennent la décision de retourner travailler
chez eux, après tant d’années passées hors du pays d’origine.
La
problématique est spécifique et souvent non abordée par les spécialistes de
l’interculturel en France. Mais cette réalité est la nôtre, nous la vivons tous
les jours en entreprise avec les cadres binationaux, les personnels, les
agents intermédiaires, les négociateurs, les négociants, les représentants
commerciaux, les décideurs franco-africains.
Le nombre d'expatriés français en
Afrique francophone a augmenté de 2,3% en 2013
Le nombre de
Français inscrits sur les registres des consulats français était de 1 642 953
le 31 décembre 2013. Ces données ne représentent cependant qu'une partie des
ressortissants français vivant en dehors du territoire national. Au 31
décembre 2013, la répartition des Français inscrits sur les registres
consulaires s'établissait ainsi : Afrique du Nord 102 007 (6,2 %), Afrique
francophone 119 723 (7,3 %), Afrique non francophone 18 790 (1,1 %), Proche et
Moyen-Orient 137 441 (8,4 %), Asie-Océanie 125 057 (7,6 %), Europe hors Union
européenne 199 738 (1,9 %), Union
européenne 627 911 (38,2 %), Amérique centrale et du Sud 99 471 (6,1 %),
Amérique du Nord 212 815 (13,0 %).
Avec 14,6% inscrit au registre au 31
décembre 2013, saviez-vous que le continent africain est la deuxième
destination française en termes d’expatriation ? Dans ces 14,6%, il y a un
nombre croissant de binationaux qui ont décidés, depuis les années 1970, de
rentrer travailler « au pays ». A partir de 2008, nous notons une
nette évolution de ce mouvement, qui grâce à la croissance endogène de
certaines économies africaines ne cesse de s’amplifier.
Le risque interculturel est un vrai
problème sur place
Pourquoi un
risque interculturel ?
Parce que le
retour aux racines, doit être le fruit d’une réflexion stratégique personnelle
ou familiale. Les opportunistes, les anarcho-profito-situationnistes font
généralement l’expérience de l’ "amer
patrie", faute d’un projet-retour
structuré, quantifiable et mesurable. Ce retour est souvent problématique,
parce qu’il ne se fait pas sans désespoirs, douleurs, surprises, et
pertes d’illusions dans les échanges interpersonnelles et face aux complexités à géométrie
variable africaines.
Pourquoi je
parle de ce problème ?
Parce que lorsque
des personnes de cultures différentes interagissent (le binational et le local),
elles vont mettre en commun pour communiquer, des éléments culturels qui leur
sont propres tout comme certains qui leur sont communs, mais vont également
faire appel à des apports culturels extérieurs à eux. Une sorte de « bricolage
culturel » va se mettre en place leur permettant de dépasser les différences,
sources d'obstacles à la communication, voire de les exploiter pour créer un
nouvel espace culturel d'interaction, avec un nouveau code culturel de
tolérance. Pour nos frères partis, face à ceux restés, l'interculturel ne se
borne pas au domaine de la communication, il produit des effets au niveau de la
perception des valeurs morales et des structures sociales.
De quoi s’agit ?
En traitant
de cette question, il s’agit ensemble d’explorer la vie de ces cadres binationaux
de retour dans leur pays d’origine ou dans un pays-frère, de parler de l’envers
du décor, de leur désillusion, perte de repères, difficultés de réinsertion, de
leurs ambitions, réussites, mais aussi la manière dont ils s’intègrent dans
leur nouvel environnement du pays qui a bien évolué depuis leur départ. Les
experts de DB CONSEILS, ayant bientôt 15 ans d’expérience et d’expertise sur
les réalités franco-africaines, vous donneront quelques solutions de formation
et des solutions d’entreprise. Mais commençons par définir ce que c’est une
impatriation.
Définition de l’impatriation des
binationaux : « the back to the
roots »
L'impatriation
consiste, pour une entreprise française, à envoyer dans son pays d'origine
un(e) afro-français(e) dans sa filiale africaine, pour pallier à une difficulté
de recrutement, de management, d’actualisation des connaissances ou de
gestion. Il n’est plus rare dans les usines, bureaux et agences africaines
de voir à la tête de celles et ceux-ci, un impatrié. C’est un cadre de la
diaspora africaine rentré dans son pays d'origine, dans le cadre de son
parcours professionnel, à la fin de ses études, ou d’une expérience
individuelle.
L’impatriation
des cadres africains de la diaspora tend à se développer en ces temps de
mondialisation. La demande des
entreprises françaises se tournent de plus en plus vers eux, tous profils
confondus. Pour ces différentes raisons, et à cette occasion, de nombreux
cadres afro-français rentrent dans leur pays d'origine. Beaucoup d'anciens
étudiants franco-africains font de plus en plus le choix du retour aux racines,
après plusieurs années d'études et/ou de travail en France, en Angleterre, en
Allemagne, au Canada, aux Etats Unis, en Chine, en Inde, en Russie, etc…
Etat des lieux
L’impatriation
de salariés est un phénomène qui tend à se développer du fait de la
mondialisation. Les salariés sont mobiles, mais les entreprises françaises (Orange, Bouygues, BNP Paribas, Total,
Société générale, Air Liquide, Air France, Crédit Lyonnais, Groupe Bolloré,
etc…) dans l’espace culturel francophone, tendent à employer une proportion
de plus en plus importante de personnels d'origine locale, dans leurs entités africaines.
« Je
suis africain, mais je déteste les Bounty… »
Dans nos formations nous attirons souvent l’attention des participants
sur le syndrome du Bounty. Qu’est-ce que c’est ? Le Bounty (chocolat au lait) est le
franco-africain né en France, ou ailleurs, ou encore ayant fait ses études et
réalisé une partie de son parcours professionnel dans hexagone, décide de vivre
l’interminable expérience de l’entre-deux cultures dans son pays d’origine. Le
Bounty est comme un poisson dans l’eau qui ne comprend l’importance de son
milieu naturel (qu’est le devenu "la France",
pour ne citer que ce cas) qu’une fois hors de l’eau. C’est « le noir de peau au mode de vie blanc »
pour simplifier. Celui comme on dit à Brazzaville qui « singe le blanc ». C’est l’Africain que le long
séjour aux « pays des blancs »
a transfiguré. Mais ce n'est qu'au retour « chez
lui », qu’il prend pleinement conscience du poids du temps passé en
France et des modifications substantielles de sa vision, sa personnalité et
comportement que la culture française, a opéré en lui. Le Bounty a certes gardé,
la langue locale ou la compréhension de celle-ci, mais plus les codes, ni la
connaissance du référentiel culturel, ainsi que des us et coutumes. S’il est
normal de se sentir étranger à l'étranger, le Bounty découvre avec effroi qu’il
est surtout difficile, voir inacceptable de se sentir étranger chez soi. C’est ce
que j’appelle l’interminable expérience de l’entre-deux cultures.
Le syndrome
du "bountisme culturel afro-français" ("africain" d'origine, « français » dans sa logique de pensée
et de raisonnement)
Ils sont nés ou ont (les Bounty) choisi
d'étudier, de vivre, de s'installer en France, d'y fonder une famille, de
devenir français pour de multiples raisons. Mais quand le "back to
the roots", prend corps et forme, le retour au bercail n’est pas
toujours simple pour ces cadres, ces agents de maîtrise, ouvriers, anciens
étudiants. Je note qu’au contact de la culture française, anglaise,
américaine, indienne, russe, allemande, italienne, leur vision du monde s’est
enrichie. Mais sur place, les travers des "frères
et sœurs", les différences de vue, de raisonnement, de comportement
et de perception leur "sautent au visage", les
déstabilisent, les rendent nerveux, et peu à peu aigris.
Que reprochent les frères africains aux
binationaux ?
Les critiques
récurrentes des locaux à l’égard des Bounty sont les suivantes : le Bounty
à la critique facile, la plainte immodérée, l’impatience est sa caractéristique.
Le comble est qu’il critique sans cesse notre réalité dans laquelle, il s’est
construit. Lui qui parle de démocratie et de la liberté d’expression tous les
jours est généralement intolérant, notre différence l’insupporte, il est irascible,
capricieux, exigeant, mais improductif, sans réelle valeur ajoutée.
« Il attend de nous des évolutions,
mais nous voyons jamais la qualité française qu’il est censé apporter… »,
regrette l’un des participants à la formation sur le management des diversités franco-africaines. Il a chaud tout le
temps, ne supporte plus les faiblesses humaines des autres, prompt à donner des
leçons de conduite et de morale, alors qu’il n’est toujours pas exemplaire. Il croit
tout connaitre, tout permis et mieux
loti que les locaux. Dans l’entreprise, le rejet de sa propre culture éloigne et
l’éloigne du groupe, rendant la communication, la cohésion et la motivation du
groupe laborieuse en entreprise.
Dès lors, le
choc du retour ne se résume pas seulement à la perte d'éventuels privilèges
français, ni même aux tracasseries de l'administration locale, mais ces Bounty
ont malheureusement le mauvais goût de n'entrer dans aucune case. Ni blanc, ni
plus vraiment congolais, le mal est plus enfoui, plus diffus, plus inavouable
aussi.
Quelques éléments d’insatisfaction des
Bounty sur place
Au cours de
la formation sur le management des diversités franco-africaines, nous avions
remis une feuille rouge (ce qui ne va pas), rose (ce qui va bien), bleue (ce
qui est à améliorer). La feuille la mieux renseignée fut la rouge et le tableau
brossé était franchement de la même couleur : incompréhension récurrente,
mauvaise gestion du temps, attitude négative, corruption active de
l'administration et du système scolaire, froideur des rapports humains,
assistanat, tribalisme, et manque du sens du service, non-respect des
engagements et de la parole donnée... « Rien
ne semble tourner rond en Afrique, j’entendais souvent dire ».
Mais la conclusion était souvent la même :
« rentrer en France, pas question. Rester sur place, oh mon Dieu, quelle
galère ! »
A cause d’une gestion malhabile de ses compétences
extérieures, de leur ignorance, de la frilosité
des frères sur place, du tribalisme et des conservatismes communautaires, les
Etats africains se privent souvent de leurs talents extérieurs, qui pourtant ramènent
dans leurs bagages des idées nouvelles et un regard neuf sur leur
pays. C'est le sentiment de bon nombre d'impatriés, frustrés de constater le faible intérêt que suscite leur
expérience à l'étranger. Ces derniers ne servent pas toujours leur cause en
entonnant un peu trop systématiquement le sempiternel refrain du "Que
c’est mal organisé" si exaspérant aux oreilles de leurs compatriotes
restés dans place, c'est-à-dire l'immense majorité des africains.
DB CONSEILS a
fait le pari de faciliter l'insertion des cadres afro-français, d’accompagner ces brillants et valeureux cadres qui, quand ils
sont prêts, veulent mettre à disposition des responsables locaux, leur immense
expérience.
Voici les
différents points qui doivent faire l'objet d'une attention particulière avant
et pendant votre mission en Afrique:
- vos compétences professionnelles (la qualité française sera attendue et la différenciation managériale très appréciée…)
- votre compétence interculturelle
- votre résilience face aux situations critiques, notamment dans la gestion des problèmes multiples et complexes que les réalités socioculturelles, administratives, humaines, juridiques, financières génèrent
- votre générosité (l'intelligence dans la gestion des cas sociaux, sera mise à rude épreuve dès votre installation)
- votre capacité de négociation ("oui" n'est jamais une garantie, "non " n'est jamais un refus, il faut savoir épouser les courbes du contexte, des enjeux et de la culture)
- votre lecture des enjeux et des intérêts locaux et la capacité de gestion des complexités locales
- votre hospitalité (sens de l'accueil, réception, disponibilité, écoute active, ouverture d’esprit, empathie, sensibilité interculturelle, votre capacité à gérer les incertitudes, l’ouverture aux autres)
- la place accordée aux anciens dans votre processus décisionnel
Cher Bounty,
comment réussir son intégration ?
Voici les
points à surveiller selon notre enquête locale dans 3 pays (Cameroun,
Congo-Brazzaville, Congo-Kinshasa) ?
Point de
vigilance 1 : la faible capacité d’adaptation
- Une incapacité à prendre en compte les changements culturels et les évolutions des mentalités du référentiel culturel d'origine
- Pour ces impatriés africains revenir est souvent plus difficile que partir. Le fait d’avoir acquis une double culture donne beaucoup de recul sur son pays d’origine. Les impatriés sont très critiques au moment du retour.
Point de
vigilance 2 : l’incompétence interculturelle
Une
incompétence interculturelle se traduit par une réticence à l’ouverture
vers ses frères. Car, le Bounty est généralement
très critique (mauvaise gestion du temps, inorganisation, lenteur, etc...), arrogant, méprisant envers les cadres locaux. Il fait
preuve d'une gestion malhabile du passif familial et/ou
communautaire. Ces deux points sont les principaux mécanismes des malentendus
interculturels entre »les frères et sœurs restés au pays" et
l'impatrié.
Point de
vigilance 3 : l’erreur culturelle
A cela
s'ajoute l'erreur culturelle qui
consiste à croire que le fait d'être originaire de tel ou tel autre pays,
ethnie ou région, vous dispense d'une actualisation de votre compétence
interculturelle, c’est-à-dire d’une formation en management interculturel.
Suite à votre absence prolongée : tout a changé. Le cadre de la diaspora ignore
que le fait d'avoir passé 5 ans, 10 ans, 15 ans, 20 ans voire plus, hors de
son référentiel culturel d'origine, fait de lui un biculturel, un
étranger et non un algérien, un congolais, un camerounais, un ivoirien. Minorer
ce fait est une faute lourde. Car la sous-estimation des évolutions
culturelles locales (toute culture est en évolution permanente), la
non-évaluation des impacts culturels de ses évolutions ainsi que des mentalités
dans la gestion de votre projet, sans oublier l'exigence d'une analyse de la réalité
socioculturelle de ce contexte depuis votre départ, sont les principales causes
d'échecs des missions d'impatriation.
Une chose
étonnante le retour aux racines se fait généralement dans l’impréparation, tant
dans le montage des dossiers que dans celui des dispositions pratiques à
prendre dans les moindres détails. Au cours de nos missions de conseils, nous
ne cessons de souligner qu'il est important pour les cadres de la diaspora de
retour dans leur pays d'origine d'être accompagnés pour disposer des clefs, leur
permettant de s’adapter au nouvel environnement de travail, de retrouver
un équilibre familial, pour être efficace dans leur mission professionnelle et
bien chez eux. Vous y préparer est notre
métier.
Les solutions d’entreprise de DB CONSEILS
DB CONSEILS est le n°1 des solutions interculturelles depuis une quinzaine d’années
pour les entreprises souhaitant investir, commercer, et s’internationaliser en
Afrique. Nous conseillons, accompagnons, formons, assistons les membres de la
diaspora africaine qui ont un projet de retour au pays.
Mission
Notre mission consiste à faire de leur
retour aux sources, une réussite individuelle et collective.
L'entreprise qui les a recrutés, capitalise sur la bonne gestion du risque
interculturel.
- Mettre sur pied une ingénierie de formation, construire des relations d'affaires avec des partenaires africains, négocier dans un contexte africain, diriger une équipe multi-ethnique, expatrier des collaborateurs et leurs familles...est le quotidien de nos clients. Les questions auxquels vous êtes confrontées exigent des réponses pratiques.
Y répondre
c'est notre métier
Nos solutions de formation
Le livret interculturel Pays
- Lorsque l’interculturel se borne à la pose des passerelles interpersonnelles de communication, le pont entre le projet d’entreprise, la réussite de celui-ci et votre intégration reste fragile. Ce dispositif de formation intra-entreprise vous permet d’évaluer le schéma culturel de l’ensemble de vos salariés ou des personnes consacrées à une mission, c’est à dire leurs forces et faiblesses culturelles en contexte africain, d’identifier leur propre image culturelle, mais aussi de tracer le profil culturel des participants à la mission pour mieux adapter votre ambition culturelle. Durée 1 à 3 jours – Programme sur demande - +331 416 640 32
- Pour connaitre les dates et lieux de formation au quatrième trimestre 2015, cliquez sur ces deux liens :
Nos solutions
d’organisation : le plan d’action intégré
Il s’exécute grâce à deux outils
Management
des diversités franco-africaines
·
C’est un ensemble d’actions articulées
autour d’une démarche par étape visant à observer pour comprendre les
spécificités socioculturelles africaines, pour en déterminer les propriétés
utiles à votre stratégie d’entreprise, décision stratégique, projet
d’entreprise.
Durée 1 à 3 jours – Programme sur demande - +331 416 640 32
Le socle d’intérêts communs
- C’est un régulateur des différences culturelles par la stimulation du corps social dans une organisation en vue de favoriser le dialogue social, en prenant en compte les particularismes locaux et les exigences globales de l’ensemble des acteurs.
- Un réducteur de conflit en face des rationalités différentes, des concepts universels et des concepts locaux que, l’entreprise et le contexte, imposent aux expatriés.
- C’est le plan simplifié d’action intégré ASPODE (Action – Suivi personnalisé – Orientation et Diplomatie culturelle)
Durée 1 à 3 jours – Programme sur demande - +331 416 640
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Patrice PASSY
Formateur en Management des diversités franco-africaines
lundi 12 octobre 2015
8 EDITION DES JOURNÉES NATIONALES DU MANAGEMENT 2015 A DOUALA
Après KINSHASA - LILLE - Patrice PASSY à DOUALA présente :
- La NATIONALE STRATÉGIQUE
- LA PENSÉE STRATÉGIQUE ENDOGÈNE AFRICAINE
- LA PENSÉE STRATÉGIQUE ENDOGÈNE AFRICAINE
LES ANCIENS DE L'ENA AUTOUR DE LA FORMATION CONTINUE DES CADRES DE LA FO...
Patrice PASSY répond aux questions suivantes :
Quelle ingénierie de formation dans les administrations africaines en rapport avec les évolutions démographique, économique et technologique ?
Quelles sont les difficultés de l’Etat en Afrique pour attirer de nouvelles compétences nécessaires à l’efficacité de son action administrative ?
Comment bénéficier de l'expérience des grandes écoles françaises (représentées à cette occasion par HEC, ESSEC, SCIENCES PO, ENA) et du soutien des Etats africains ?
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