INTELLIGENCE ECONOMIQUE
Par Patrice PASSY
Conseil en Intelligence Economique
Le Monde se liquéfie, en cause :
- La logique des rapports marchands dans le monde
- La concurrence mondiale exacerbée entre les occidentaux et les pays émergents
- Le fossé de plus en plus grand entre les riches et les pauvres à travers le monde
- Les sept faims des congolais
- L’Incertitude économique
- Les Guerres et Famines
- Les Guerres économiques (guerre des monnaies, le pétrole, la maîtrise des hautes technologies, les contrôles des espaces et des zones vitales aux puissances occidentales)
- La compétitivité économique
- Le nouvel ordre économique
- La défense stratégique
- L’abolition des frontières
- L’information sans frontière
- La course pour le leadership mondial (Chine- Etats-Unis)
- Un monde multi-polaire (Etats-Unis, Chine, Union Européenne, Russie, Inde, Brésil etc…)
- Les stratégies de contrôle et d’accès aux matières premières
- Les stratégies de dépendance intégrale des néo-coloniaux pour le maintien des zones de confort économique en Afrique
- Le poids des intérêts de la dette pour les pays pauvres, aux sols riches mais endettés
Le Congo-Brazzaville est au centre de la nouvelle géopolitique pétrolière et des stratégies de développement des majors. Plusieurs guerres fratricides n’ont pas permis de discerner que nous subissons la guerre économique sans jamais la comprendre, ni disposer des moyens de conduite de cette guerre.
La cherté du baril brut et la nécessaire diversification des sources d’approvisionnement des pays occidentaux, de la Chine et de l’Inde donne au Congo-Brazzaville, une importance stratégique de premier ordre en Afrique Centrale. Depuis 1968, plusieurs politiques et stratégies ont été mises en place par nos « alliés traditionnels » avec pour seul objectif final : acquérir nos matières premières au prix fixé par l’acheteur.
La cherté du baril brut et la nécessaire diversification des sources d’approvisionnement des pays occidentaux, de la Chine et de l’Inde donne au Congo-Brazzaville, une importance stratégique de premier ordre en Afrique Centrale. Depuis 1968, plusieurs politiques et stratégies ont été mises en place par nos « alliés traditionnels » avec pour seul objectif final : acquérir nos matières premières au prix fixé par l’acheteur.
Face à cette situation en 2012, le Congo-Brazzaville peut-il prétendre devenir maître de son destin ?
Que nous présente la nouvelle donne économique mondiale ?
Voici l’essentiel des enjeux :
- Toutes les organisations sont désormais soumises à des profonds bouleversements, ses frontières aussi se déplacent, qu’il s’agisse des frontières internes dans l’entreprise, ou externes c’est-à-dire celle de l’Etat, la mondialisation des économies bouleverse toutes les économies ainsi que l’organisation et l’adminisration des Etats.
- La dimension marchande et financière des activités économiques prend une importance inégalée et la pression concurrentielle internationale touche progressivement l’ensemble de nos secteurs d’activités. Les entreprises nationales (SNPC par exemple) évoluant au cœur des échanges mondialisés sont contraintes d’ajuster leurs stratégies en fonction d’une nouvelle grille de lecture intégrant la complexité croissante des réalités économiques. La gestion stratégique de l’information devient l’un des leviers majeur au service de la performance économique et de l’emploi au Congo-Brazaville.
Scanner en permanence son environnement interne et externe - Savoir pour Anticiper ou Décider, telle est la valeur ajoutée de cette discipline aux contours mal connus au Congo, que nous vous proposons de découvrir et d’intégrer dans l’entreprise et au sein de l’Etat à savoir : l’intelligence économique
Philippe BAUMARD : "l'intelligence économique n'est plus seulement un art d'observation, mais une pratique offensive et défensive de l'information. Son objet est de relier entre eux plusieurs domaines pour servir à des objectifs tactiques et stratégiques de l'entreprise. Elle est un outil de connexion entre l'action et le savoir de l'entreprise, des collectivités, et de l’Etat.
Problèmes au Congo-Brazzaville ?
1. Sans analyse stratégique et anticipation, il est difficile de comprendre la marche du monde et ses enjeux.
2. Sans compréhension des enjeux, il est impossible de prendre conscience des effets direct et indirect liés à la complexification croissante de l’économie mondiale sur le Congo économique
3. Sans compétences et savoir-faire, nous ne serons que consommateurs de tout, sans prise sur notre finitude et notre réel.
Pourquoi ?
1. Parce que face aux nouveaux enjeux mondiaux, la pensée STRATÉGIQUE congolaise, à 5 ou à 20 ans, tarde à se faire connaître. Elle est à l’arrêt depuis la fin du monopartisme.
2. Parce que la fonction stratégique de l’Etat est inconnue des décideurs économiques. Or l’enjeu invoqué souligne l’immédiateté de l’évaluation, de la réflexion et de l’analyse stratégique
3. Parce que la définition des secteurs d’activités stratégiques en terme de souveraineté, d’influence, et de défense d’intérêts économique est aphone ou sans lisibilité et visibilité
4. Parce que nos entreprises sont aveugles sans réflexion et prospective sur les enjeux commerciaux de demain.
Conséquences
De quoi souffre l’information (management, système, gestion, moyens, culture) au Congo-Brazzaville ?
1. Manque de connaissance et des moyens, culture de l’information insuffisante
2. Absence de stratégie globale et transversale au niveau de l’Etat et des entreprises
3. Offre d’informations parcellaires, les initiatives publiques sont souvent éloignées des besoins opérationnels des entreprises
4. Difficulté d’accès à l’information professionnelle pour l’ensemble des acteurs économiques, voire politiques
5. Offre d'informations non disponible dans les processus décisionnels
6. Absence d’une culture de partage de l’information (information is power)
7. Manque d’intérêt à tous les niveaux de décision stratégique, pour l’évaluation ex-ante, l’analyse fonctionnelle ou la réflexion stratégique
Propositions
Que faire pour valoriser l’information ?
- Le management de l’information doit être au cœur de l’architecture décisionnelle comme un instrument d’une stratégie nationale globale et transversale pour l’Etat et les entreprises.
- Au niveau des organisations professionnelles, des grandes entreprises de l’Etat, la logique de réseau en interne doit installer des connivences d’intérêts afin de mieux mobiliser les compétences face aux enjeux internes et externes
- La gestion de l’information s’exécute en silo. En 2012 il s’agit de dépasser la logique de silo (base tribale, communautaire, mystico-religieuse, cloisonnement entre ministères, services, directions, diffusion-rétention de l’information (l’information est considérée comme un outil de pouvoir), comportement qui est à l’origine dans toutes les organisations de la démotivation des cadres et des employés. Chaque silo représente un département de l’entreprise, une direction dans l’administration, un ministère dans un gouvernement, qui possède des « logiciels et applications diverses » qui lui sont propres dans la défense ou la gestion de leurs intérêts, etc... Cette configuration est liée à la façon dont les intérêts multiformes en entreprise, dans l’administration, ont construit leurs systèmes d’information tout au long de leur histoire.
La logique en réseau que nous souhaitons voir se développer présente de nombreuses propriétés : elle est fluide et interconnectée, transparente, collaborative, encourage une dynamique de la subsidiarité, fonctionne sur des principes simples et clairs, appliqués pour toute organisation qui souhaite demeurer accessible et reste soucieuse d’exemplarité.
Quels sont les objectifs assignés à la gestion de l’information au Congo ?
Analyse de l’existant
L’utilisation actuelle de l’information se traduit de la manière suivante :
A ce jour l’information sert :
à l’usage exclusivement défensif (les services de renseignement, de sureté et de contre-espionnage)
d’instrument d’influence et de lobbying sur le plan extérieur de manière ponctuelle et intérieur en cas de conflit
de support aux stratégies indirectes et ruses politiques
au renforcement des connivences d’intérêts tribaux ou communautaires
à la mutualisation des intérêts politiques
au décodage culturel de l’Autre
Demain, trois approches distinctes et inter opérationnelles doivent définir la gestion de l’information au Congo
§ Approche marchande
L’information est considérée comme un produit marchand ou un service créateur de haute valeur ajoutée et d’emploi.
§ Approche fonctionnelle
L’information est importante non pas intrinsèquement mais parce qu’elle a des effets sur le reste de l’économie, la formation et la culture
§ Approche stratégique
Fait considérer l’information comme un bien stratégique, d’où la nécessité de préserver en toutes circonstances l’accès du pays aux sources d’informations indispensables. Mettre à la disposition des cabinets étrangers d’audit des informations stratégies concernant le pays sans filtre ni mécanisme de contrôle est la preuve de la méconnaissance du rôle de l’information stratégique.
Ces approches qui peuvent s’exécuter distinctement ou, ce qui est souhaitable, ou de manière concertée grâce à une politique nationale de protection du patrimoine immatérielle de l’Etat et des entreprises. L’Etat dans ce cas doit opérer sa mutation tant législative, que technique pour passer de l’Etat gestionnaire à l’Etat stratège afin de mieux définir le périmètre stratégique des intérêts congolais à protéger, valoriser, et inscrire dans la constitution.
Dans ce contexte quelle est le rôle de l’Etat dans la protection du patrimoine économique du Congo ?
1. Le « patriotisme économique » désigne un comportement spécifique du consommateur, des entreprises et des pouvoirs publics consistant à favoriser le bien ou le service produit au sein de leur pays ou de leur groupe de pays.
2. Le rôle du « patriotisme économique » est de soutenir l'activité économique et la cohésion sociale. C’est une légitime défense d'intérêts économiques locaux (nationaux, sous régionaux dans le cadre de la CEMAC). Certaines des méthodes utilisées visent à bloquer la concurrence externe et sont ainsi considérées comme du protectionnisme. Les champions du « patriotisme économique » sont les français.
3. La forme principale est d'ordre étatique et vise à créer les conditions permettant aux autorités politiques et administratives d'intervenir de façon judicieuse dans les choix économiques selon les critères annoncés (la sauvegarde des intérêts de la "patrie").
4. Au niveau organisationnel l'objectif affiché, d'accroître la compétitivité de l'économie et la cohésion sociale, se traduit par la stimulation du développement économique des territoires, en structurant les relations des organismes territoriaux avec les entreprises qui y sont implantées.
Mais avant, quels sont les obstacles à franchir ?
Au niveau de l’Etat
Méconnaissance du rôle de l’Etat
Non maîtrise des concepts de l’Intelligence Economique
Promotion des intérêts économiques insuffisante en interne et à l’extérieur. Dans le cadre de mes activités professionnelles, j’ai visité le stand du Congo-Brazzaville à Shanghai (Chine) à l’exposition universelle de 2010…un amateurisme dangereux
Insuffisance de la réglementation (droit des affaires, contrôle des investissements directs étrangers, coopération inter entreprises, etc…)
Absence d’un environnement favorable à l’émergence d’une offre de services privés aux entreprises dans le domaine de l’Intelligence Economique
Absence d’une réflexion nationale sur l’Intelligence Economique
Manque de cycles de formation dédiée
Méconnaissance du rôle de l’Etat
Non maîtrise des concepts de l’Intelligence Economique
Promotion des intérêts économiques insuffisante en interne et à l’extérieur. Dans le cadre de mes activités professionnelles, j’ai visité le stand du Congo-Brazzaville à Shanghai (Chine) à l’exposition universelle de 2010…un amateurisme dangereux
Absence d’un environnement favorable à l’émergence d’une offre de services privés aux entreprises dans le domaine de l’Intelligence Economique
Absence d’une réflexion nationale sur l’Intelligence Economique
Manque de cycles de formation dédiée
Sur le plan juridique
1.Le secret économique n’est pas suffisamment garanti
2.Absence d’une loi assurant la protection des entreprises nationales et des particuliers contre le vol du secret d’affaires
3.La cohérence et l’efficacité de textes de lois restent imparfaites
4. Absence de loi sur la fraude informatique et le droit d’auteur.
5.La coopération inter entreprises ne bénéfice pas aux entreprises nationales
1.Le secret économique n’est pas suffisamment garanti
2.Absence d’une loi assurant la protection des entreprises nationales et des particuliers contre le vol du secret d’affaires
3.La cohérence et l’efficacité de textes de lois restent imparfaites
4. Absence de loi sur la fraude informatique et le droit d’auteur.
5.La coopération inter entreprises ne bénéfice pas aux entreprises nationales
Conséquences au niveau de la synergie : acteurs public / acteurs économiques
1. Difficultés d’accès à l’information à haute valeur ajoutée
2. Manque de culture de l’information dans l’entreprise
3. Incohérence des bases d’informations mises à disposition des acteurs
4. Absence de sensibilisation et d’information sur les enjeux et le rôle de l’information dans l’entreprise et les organismes de proximité
5. Manque de formation des techniciens et des cadres sur les techniques de l’Intelligence Economique
6. Intérêts divergents entre l’entreprise privée et les institutions sur la notion même de l’information
7. Manque de cohésion des équipes au sein de l’entreprise
8. Manque de coordination opérationnelle
9. Absence d’organisation au sein des structures par projet (Gouvernement, Ministère, Entreprise, Chambres de commerce)
1. Difficultés d’accès à l’information à haute valeur ajoutée
2. Manque de culture de l’information dans l’entreprise
3. Incohérence des bases d’informations mises à disposition des acteurs
4. Absence de sensibilisation et d’information sur les enjeux et le rôle de l’information dans l’entreprise et les organismes de proximité
5. Manque de formation des techniciens et des cadres sur les techniques de l’Intelligence Economique
6. Intérêts divergents entre l’entreprise privée et les institutions sur la notion même de l’information
7. Manque de cohésion des équipes au sein de l’entreprise
8. Manque de coordination opérationnelle
9. Absence d’organisation au sein des structures par projet (Gouvernement, Ministère, Entreprise, Chambres de commerce)
Sur le plan humain, force est de constater que le Congolais cultive un « individualisme informationnel » exacerbé, symbolisé par :
1.La centralisation ethnique de l’information et la rétention-diffusion ethnique de l’information
2. La rétention-diffusion de l'information à titre personnel, l’information n’est pas encore comprise comme un outil de travail et d’animation, mais un enjeu du pouvoir
3. L'incapacité à la partager et à la mettre en commun
4. La gestion malhabile du secret
5. L’intolérance du droit d’aînesse, la personnalisation et non l’exercice de la fonction
6. Le culte de la supériorité intellectuelle, du prestige des diplômes, manque d’écoute active
7. Les réticences à l'ouverture, à l'accueil et à l'écoute des idées des autres, des idées nouvelles, l'esprit de chapelle
8. La propension étonnante à disserter sur les opinions et non sur les faits
9. La priorité à la théorisation et aux idées abstraites, pouvant aller jusqu'au refus d'admettre les faits et les réalités. La croyance excessive en un Dieu qui fait tout, qui instruit et informe et enfin la dissolution de l’individu dans la communauté, ce qui occulte toute culture des responsabilités, tout goût pour l’effort
1.La centralisation ethnique de l’information et la rétention-diffusion ethnique de l’information
2. La rétention-diffusion de l'information à titre personnel, l’information n’est pas encore comprise comme un outil de travail et d’animation, mais un enjeu du pouvoir
3. L'incapacité à la partager et à la mettre en commun
4. La gestion malhabile du secret
5. L’intolérance du droit d’aînesse, la personnalisation et non l’exercice de la fonction
6. Le culte de la supériorité intellectuelle, du prestige des diplômes, manque d’écoute active
7. Les réticences à l'ouverture, à l'accueil et à l'écoute des idées des autres, des idées nouvelles, l'esprit de chapelle
8. La propension étonnante à disserter sur les opinions et non sur les faits
9. La priorité à la théorisation et aux idées abstraites, pouvant aller jusqu'au refus d'admettre les faits et les réalités. La croyance excessive en un Dieu qui fait tout, qui instruit et informe et enfin la dissolution de l’individu dans la communauté, ce qui occulte toute culture des responsabilités, tout goût pour l’effort
Intelligence économique contre Intelligence Culturelle : les douze obstacles à franchir
1. Absence de systèmes de collectes d'informations et d'analyses stratégiques permettant d'établir des cadres stratégiques de développement économique et de croissance.
2. Absence de processus de valorisation et de coproduction des connaissances du fait d’une vision non collective de la finalité de l'information
3. Une résistance aux changements impactant les réflexes professionnels et l’organisation du travail
3. Une résistance aux changements impactant les réflexes professionnels et l’organisation du travail
4. Une identification incomplète des menaces et des opportunités
5. La fausse sensation d’être bien renseignée
6. Un manque de cohésion sur le choix des axes stratégiques
7. Une méconnaissance de la veille et de l’analyse stratégique
8. Une gestion incohérente des priorités
9. Un manque d’évaluation de ses activités
Défaut d’organisation interne des documents existants dans l’entreprise (une aversion consumée des procédures)
Sous-estimation ou mauvaise exploitation des informations disponibles pour bâtir une stratégie offensive ou défensive
Une incapacité à décoder les informations disponibles
Que faire pour que l’information devienne un instrument de travail, un levier complémentaire de compétitivité économique, un outil d’aide à la décision stratégique ?
Rôle de l’Etat
1 - changer l’état d’esprit
L’information est une matière première
Dont la valeur ajoutée se trouve dans son exploitation
Dont la valeur ajoutée se mesure à une demande solvable
Qui exige un savoir spécifique (métier) avec des instruments propres (outils de production) et des compétences spécialisées (ressources humaines).
L’information est un moyen d’action
Pour agir en interne sur les motivations
Pour agir à l’extérieur et influencer tous ceux qui agissent sur l’entreprise
Pour répondre à une action émanant d’acteurs externes
L’information à de la valeur
Valeur de l’information notamment pour savoir ce que l’on peut diffuser à l’extérieur et à l’intérieur
Valeur des informations qui manquent pour la prise de décision stratégique
Valeur pour connaître le coût financier à consentir pour chaque opération, mission ou projet
Coût en temps consacré : l’information est le résultat d’une action volontaire, elle n’est pas le fait du Saint-Esprit.
2 – Créer un cadre nouveau de travail
L’usage des grilles d’analyse
ù l’analyse du jeu des acteurs économiques permet d’identifier les menaces et opportunités provoquées par les rapports de force (interne/externe)
Où l’analyse comparée des cultures restitue chaque information dans son contexte (France-Congo par exemple)
Où l’analyse systémique incite à étudier autant chaque composante du système que leurs interdépendances (Etat, collectivités publiques, entreprises)
Où l’analyse stratégique exige une vision globale multidimensionnelle
La conduite du changement de l’organisation
Des structures de veille pour collecter, traiter et diffuser l’information
Des structures fonctionnelles pour optimiser les activités opérationnelles
Des hommes pour la maîtrise individuelle et collective de l’information
L’information est un moyen d’action
§ Basée sur des moyens individuels (postes de travail) et collectifs (réseaux informatiques)
Notre métier est de vous donner l’aptitude pour transformer une information en action offensive ou défensive sur le terrain
Comment est gérée l’information au Congo-Brazzaville ?
Schéma général
La coordination des acteurs à différents niveaux d’intelligence économique au Congo
Notre proposition technique
La semaine prochaine
A- Les vulnérabilités de l’Etat congolais et des entreprises face à la mondialisation
B- Les outils de protection économique du patrimoine de l’Etat
L’architecture nationale
Le conseil de sécurité économique de la République
VIGI-CONGO